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Présentation du nouvel équipement pour plaque de photopolymère
Les artistes Annie Conceicao-Rivet et Élise Massy ont présenté le 28 février dernier leur travail de recherche sur les possibilités créatives et expressives de la plaque photopolymère grâce à l’utilisation de notre nouvelle unité d’exposition NUARC. Cette présentation fut accompagnée de démonstrations techniques et pratiques.
Ce projet a été rendu possible grâce à l’Entente de développement culturel conclue entre la Ville de Longueuil et le ministère de la Culture et des Communications dans le cadre du programme de soutien à l’achat d’équipements spécialisés.
À propos des artistes
M.A. en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, Annie Conceicao-Rivet est récipiendaire d’une bourse en recherche-création du CALQ en 2010, de l’atelier-résidence du CALQ en Finlande en 2012, ainsi que de deux bourses de soutien de la SODEC en 2013 et 2016. Son travail s’inscrit dans une démarche de réappropriation de l’objet rejeté de la création et la consommation en tant que matériau de production artistique. Frottis, pochoir, ombre chinoise, moulage, tracé de contour sont des procédés qu’elle emploie pour étudier les propriétés physiques de la matière transformée singulièrement par la pression du corps sur sa surface. Par l’étude du phénomène de la trace et son accumulation, elle cherche à comprendre la place du corps humain en tant que marqueur de relation et de création d’un mode de vie.
M.A. en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, Annie Conceicao-Rivet est récipiendaire d’une bourse en recherche-création du CALQ en 2010, de l’atelier-résidence du CALQ en Finlande en 2012, ainsi que de deux bourses de soutien de la SODEC en 2013 et 2016. Son travail s’inscrit dans une démarche de réappropriation de l’objet rejeté de la création et la consommation en tant que matériau de production artistique. Frottis, pochoir, ombre chinoise, moulage, tracé de contour sont des procédés qu’elle emploie pour étudier les propriétés physiques de la matière transformée singulièrement par la pression du corps sur sa surface. Par l’étude du phénomène de la trace et son accumulation, elle cherche à comprendre la place du corps humain en tant que marqueur de relation et de création d’un mode de vie.
Élise Massy est détentrice d’un baccalauréat en création multimédia interactif de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et d’un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal; elle a participé à de nombreuses expositions solos et collectives. Elle étudie présentement l’impression textile au Centre design et impression textile de Montréal. L’image est une véritable fascination pour l’artiste. Elle hybride, pastiche, crée des dialogues d’opposition ou de complémentarité. Elle emprunte les outils, les codes et le langage de l’artisan, du collectionneur et même de l’anthropologue, en imposant au spectateur des images qui jouent sur les glissements de sens, les contradictions et les mises en relation.
Emplacement : ZOCALO – 80, rue Saint-Jean, Vieux-Longueuil
